« La guerre des étoiles », d'abord une trilogie cinématographique pensée dès ses débuts comme une épopée en neuf volets (et dont sept à ce jour ont été réalisés, avec des fortunes diverses), est unique dans l'histoire de l'humanité. Jamais une œuvre (culturelle, cinématographique) n'a marqué autant d'hommes et de femmes en aussi peu de temps. Ses thèmes, ses personnages, sa musique, ses symboles, son intrigue, son système philosophique et moral, sa vision du monde et de l'histoire, ont fasciné le monde entier. Ses épisodes, ses (...)
Critiques
Pêcheurs de perles
Par Les Éditions de Londres, 29 janvier 2016 dans Critiques
“Pêcheurs de perles” est un reportage d'Albert Londres publié en 1931 suite à un voyage au Proche et Moyen-Orient pour aller à la rencontre des pêcheurs de perles. Tout en nous décrivant leur condition misérable, Albert Londres se livre à une description de la mer rouge et du golfe persique aussi pertinente que haute en couleurs. Si la pêche des perles ne semble plus intéresser grand monde en 2016, en revanche la description de l'Arabie Saoudite, des Emirats etc. dans les années vingt, du fonctionnement de l'Islam et de la montée du Wahhabisme, (...)
La corde au cou
Par Les Éditions de Londres, 28 janvier 2016 dans Critiques
« La corde au cou » est un roman policier d'Emile Gaboriau publié en 1871. Dans la nuit du 22 au 23 juin 1871, un violent incendie fait rage au château de Valpinson. Un idiot du village déclare avoir vu l'auteur du sinistre, un certain Jacques de Boiscoran, qui se serait vengé de différends de chasse contre le Comte de Claudieuse. La famille de Jacques prend les services de l'avocat Manuel Forgat afin d'innocenter Jacques.
Esquisse d’une morale sans obligation ni sanction
Par Les Éditions de Londres, 28 janvier 2016 dans Critiques
« L'esquisse d'une morale sans obligation ni sanction » est un essai philosophique de Jean-Marie Guyau publié en 1885. Dans cet ouvrage, qui fut salué par la critique de son époque, et par des philosophes si différents que Nietzsche et Kropotkine, Guyau se place en rupture avec la morale de son temps, influencée par les conceptions kantiennes et les utilitaristes ou pragmatiques anglais. Il n'essaie pas de reconstruire un système moral, mais plutôt s'intéresse à la vie avant tout, et ce en quoi elle influence la morale humaine.