[Note 1] Cet avertissement, figurant depuis la première édition, était supposé être un avertissement de l’éditeur
[Note 2] (Note de l’auteur) Je dois prévenir aussi que j’ai supprimé ou changé tous les noms des personnes dont il est question dans ces lettres ; et que si, dans le nombre de ceux que je leur ai substitués, il s’en trouvait qui appartiennent à quelqu’un, ce serait seulement une erreur de ma part, et dont il ne faudrait tirer aucune conséquence.
[Note 3] (Note de l’auteur) Pensionnaire du même couvent.
[Note 4] In fiocchi : en costume d’apparat.
[Note 5] Pour rappel, à l’époque, on appelait déjeuner le repas du matin (petit déjeuner), le dîner, le repas du midi (déjeuner) et le souper, celui du soir (dîner).
[Note 6] (Note de l’auteur) Tourière du couvent.
[Note 7] Sous l’ancien régime, la substitution, en droit de l’héritage, consistait à nommer les héritiers successifs de telle sorte que les premiers héritiers ne pouvaient pas aliéner les biens.
[Note 8] (Note de l’auteur) Ces mots roué et rouerie, dont heureusement la bonne compagnie commence à se défaire, était fort en usage à l'époque où ces Lettres ont été écrites.
[Note 9] (Note de l’auteur) Pour comprendre ce passage, il faut savoir que le comte de Gercourt avait quitté la marquise de Merteuil pour l'intendante de***, qui lui avait sacrifié le vicomte de Valmont, et que c'est alors que la marquise et le vicomte s'attachèrent l'un à l'autre. Comme cette aventure est fort antérieure aux événements dont il est question dans ces lettres, on a cru devoir en supprimer toute la correspondance.