Préface des Editions de Londres
LES TRIBULATIONS D’UN CHINOIS EN CHINE
CHAPITRE 1 Où la personnalité et la nationalité des personages se dégagent peu à peu.
CHAPITRE 2 Dans lequel Kin-Fo et le philosophe Wang sont posés d’une façon plus nette.
CHAPITRE 3 Où le lecteur pourra, sans fatigue, jeter un coup d’oeil sur la ville de Shang-Haï.
CHAPITRE 4 Dans lequel Kin-Fo reçoit une importante lettre qui a déjà huit jours de retard.
CHAPITRE 5 Dans lequel Lé-Ou reçoit une lettre qu’elle eût préféré ne pas recevoir.
CHAPITRE 6 Qui donnera peut-être au lecteur l’envie d’aller faire un tour dans les bureaux de “la centenaire”.
CHAPITRE 7 Qui serait fort triste, s’il ne s’agissait d’us et coutumes particuliers au céleste empire.
CHAPITRE 8 Où Kin-Fo fait à Wang une proposition sérieuse que celui-ci accepte non moins sérieusement.
CHAPITRE 9 Dont la conclusion, quelque singulière qu’elle soit, ne surprendra pas le lecteur.
CHAPITRE 10 Dans lequel Craig et Fry sont officiellement presentés au nouveau client de “la centenaire”.
CHAPITRE 11 Dans lequel on voit Kin-Fo devenir l’homme le plus célèbre de l’empire du milieu.
CHAPITRE 12 Dans lequel Kin-Fo, ses deux acolytes et son valet s’en vont à l’aventure.
CHAPITRE 13 Dans lequel on entend la célèbre complainte des “cinq veilles du centenaire”
CHAPITRE 14 Où le lecteur pourra, sans fatigue, parcourir quatre villes en une seule.
CHAPITRE 15 Qui réserve certainement une surprise à Kin-Fo et peut-être au lecteur.
CHAPITRE 16 Dans lequel Kin-Fo, toujours célibataire, recommence à courir de plus belle.
CHAPITRE 17 Dans lequel la valeur marchande de Kin-Fo est encore une fois compromise.
CHAPITRE 18 Où Craig et Fry, poussés par la curiosité, visitant la cale de la “Sam Yep”.
CHAPITRE 19 Qui ne finit bien, ni pour le capitaine Yin commandant la “Sam-Yep”, ni pour son equipage.
CHAPITRE 20 Où on verra à quoi s’exposent les gens qui emploient les appareils du capitaine Boyton.
CHAPITRE 21 Dans lequel Craig et Fry voient la lune se lever avec une extrême satisfaction.
CHAPITRE 22 Que le lecteur aurait pu écrire lui-même, tant il finit d’une façon peu inattendue !