Les Éditions de Londres sont très heureuses de vous présenter leur première collection de genre, "East End", consacrée aux polars et aux romans noirs.
Pour notre maison numérique pas tout à fait comme les autres, c'est une nouvelle étape de l'aventure, commencée en 2011. Après la publication de classiques gratuits, puis payants ; après l'édition d'inédits « hors collection » ; ce n'est que la suite logique d'une démarche que nous voulons sereine et passionnée.
Ce site s'étoffera avec le temps, au fil de nos publications notamment, mais nous espérons que vous y trouverez d'ores et déjà toutes les informations pratiques.
Pourquoi "East End"?
« East End » est la première collection de genre lancée par les Éditions de Londres, maison numérique depuis 2011. Elle est placée sous la responsabilité de Jean-Basile Boutak.
La collection tire son nom d'un quartier de Londres, qui a toujours été l'un des plus populaires et des plus miséreux de la capitale britannique. Au XIXe siècle, c'est d'ailleurs dans « East End » que va sévir Jack L'Éventreur, tueur en série dont on n'a jamais pu établir l'identité, pas plus que le nombre exact de victimes – au moins cinq prostituées.
C'est dire si cette collection de polars et de romans noirs se place sous de terribles auspices !
Nos influences littéraires sont variées et cosmopolites : Sir Arthur Conan Doyle, Agatha Christie, Maurice Leblanc, Dashiell Hammett, San Antonio, Pierre Siniac, ADG, Jean-Christophe Grangé, Arnaldur Indridason, Katherine Neville, Dan Brown, Paco Ignacio Taibo, Fante père et fils, etc., pour ne se cantonner qu'aux écrivains de polars et de romans noirs. Et il faut bien avouer une coupable prédilection pour Raymond Chandler et James Ellroy.
Nous sommes donc ouverts à différents styles, sous-genres, paysages ; à différentes provenances, expériences, existences.
Ce que les manuscrits que nous éditerons au fil du temps auront en commun : une analyse du monde par le prisme de la mort, du réalisme, un minimum de rigueur documentaire, et si possible un brin d'humour. Noir, forcément.
Commentaires