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Les Éditions de Londres sont une nouvelle maison d'édition numérique.
Avant tout, Les Éditions de Londres nagent à contre-courant des idées reçues.
Pourtant, Les Éditions de Londres ne sont pas un saumon ; d'ailleurs elles ne sont pas de rivière, ni de la mer, mais plutôt de l'Océan.
Nous aimons le débat, les idées, les différences d'opinions, les débats d'idées, en gros tout ce que la néo-morale de la société française tend à supprimer.
Nous pensons qu'il n'y a jamais eu autant de décalage entre ce que la société prêche : tolérance, respect, égalité, libre expression, démocratie, justice, et ce qu'elle nous offre : politiquement correct suintant d'hypocrisie, interdiction de proférer des opinions susceptibles de créer la moindre controverse publique, contrôle total des pensées, des comportements par l'emprise d'un État « Matrix » et d'une société pleurnicharde et consentante, absence de démocratie, de justice.
La Bonne Nouvelle, c'est que, dans un État de dictature consentie, le rôle des mots, le rôle de l'écrit, et surtout des livres n'a jamais été aussi important. Pour nous inspirer, nous faire réfléchir, nous élever au dessus de notre condition pas très reluisante.
Alors, Les Éditions de Londres seraient-elles la pilule rouge offerte à Néo ?
La deuxième Bonne Nouvelle, c'est que l'Internet révolutionne la diffusion et l'accès à l'écrit.
La Révolution numérique, c'est aussi celle des livres, et d'autres formes d'écrit.
Quand on sait ce que l'invention de Gutenberg a fait pour la civilisation Occidentale, de la Renaissance aux Lumières, alors on a le droit et le devoir d'espérer. (Espoir= L'espoir)
C'est pourtant assez clair, Londres, c'est la Fondation...pas très éloignée, et que l'on sait assez facilement trouver comme l'a montré la Luftwaffe.
C'est l'espoir, l'esprit de résistance, le siège de la plus ancienne démocratie au monde, l'autonomie de la City of London, depuis une charte de 1319, qui lui confère un statut administratif unique au monde puisque sa juridiction ne dépend pas du Premier Ministre.
Londres, c'est aussi la capitale de la proscription européenne.
Comme aujourd'hui pour les jeunes réfugiés politiques français, c'est la capitale des anarchistes, des communistes et de tous les révoltés européens au milieu du Dix Neuvième siècle. C'est le lieu de refuge des anarchistes français chassés par les lois scélérates de 1894...C'est le point de rencontre de tous les opprimés, de tous les résistants de l'Europe pendant la seconde guerre mondiale.
Donc, ce sera Londres.