La fée aux miettes Charles Nodier 1832
Préface des Éditions de Londres
Au lecteur qui lit les préfaces.
I Qui est une espèce d'introduction.
V. Où il commence à être question de la Fée aux Miettes.
VI. Où la Fée aux Miettes est représentée au naturel, avec de beaux détails sur la pêche aux coques et sur les ingrédients propres à les accommoder, pour servir de supplément à La Cuisinière bourgeoise.
VII. Comment l’oncle de Michel se mit en mer, et comment Michel fut charpentier.
VIII. Dans lequel on apprend qu’il ne faut jamais jeter ses boutons au rebut sans en tirer le moule.
IX. Comment Michel pêcha une fée, et comment il se fiança.
X. Ce qu’était devenu l’oncle de Michel, et de l’utilité des voyages lointains.
XI. Qui contient le récit d’une tempête incroyable, avec la rencontre de Michel et de la Fée aux Miettes en pleine mer, et ce qui en arriva.
XII. Où il est traité pour la première fois de la cérémonie du mariage chez les chiens.
XIII. Comme quoi Michel fut aimé d’une grisette et amoureux d’un portrait en miniature.
XIV. Comment Michel traduisit l’hébreu à la première vue, et comment on fait des louis d’or avec des deniers, pourvu qu’il y en ait assez ; plus la description d’un vaisseau de nouvelle invention, et des recherches curieuses sur la civilisation des chiens danois.
XV. Dans lequel Michel soutient un combat à outrance avec des animaux qui ne sont pas connus à l’Académie des Sciences.
XVI. Où l’on voit ce que c’est qu’une enquête judiciaire, et autres choses divertissantes.
XVII. Qui est le procès-verbal naïf des séances d’une cour d’assises.
XVIII. Comment Michel le charpentier était innocent, et comment il fut condamné à être pendu.
XIX. Comment Michel fut conduit à la potence, et comment il se maria.
XX. Ce que c’était que la maison de la Fée aux Miettes, et la topographie poétique de son parc, dans le goût des jardins d’Aristonoüs de M. de Fénelon.
XXI. Dans lequel on lira tout ce qui a été écrit de plus raisonnable jusqu’à nos jours sur la manière de se donner du bon temps avec cent mille guinées de rente, et même davantage.
XXII. Où l’on enseigne la seule manière honnête de passer la première nuit de ses noces avec une jeune et jolie femme quand on vient d’en épouser une vieille, et beaucoup d’autres matières instructives et profitables.
XXIII. Comment Michel fut introduit dans un bal de poupées vivantes, et prit plaisir à les voir danser.
XXIV. Ce que Michel faisait pour se dédommager quand il fut riche.
XXV. Comment la Fée aux Miettes envoya Michel à la recherche de la mandragore qui chante, et comment il finit de l’épouser.
XXVI. Le dernier et le plus court de la narration de Michel, qui est par conséquent le meilleur du livre.
Conclusion Qui n’explique rien et qu’on peut se dispenser de lire.
Note