Georges Courteline (1858-1929) de son vrai nom Georges Victor Marcel Moineaux, est un auteur de théâtre et romancier français. Célèbre pour ses pièces où il dépeint avec humour les travers de la société et de la vie humaine, il a laissé les célèbres Boubouroche, "Le commissaire est bon enfant"...
Georges Moineaux est né à Tours en 1858. Pourtant, c'est Paris et la Butte Montmartre qui ont son amour. Agé de cinq ans, ses parents, qui l'avaient laissé à ses grands-parents tourangeaux, le rappellent à Paris. Tous les étés, il voyait passer de sa maison de Montmartre les vedettes du théâtre du Second Empire. Il fait ses études au Collège de Meaux, son service militaire à Bar-le-duc, puis il entre au Ministère de l'Intérieur. Il ne s'y plait guère naturellement, et il commence à écrire, mais adopte tout de suite un pseudonyme à cause de son père, Jules Moineaux.
Courteline passait sa journée au bistro. Là, il buvait un peu, il lisait, rédigeait des articles de journaux, jouait aux cartes, faisait de bonnes blagues à ses amis, mais surtout, à la façon d'un entomologiste, il collectait des spécimens de bêtise humaine. C'est ça qu'il faut comprendre Courteline, c'est avant tout un observateur de la vie quotidienne. Il voit, il observe, puis il écrit, souvent des petites pièces bien ciselées, il se plaint de son manque d'imagination, rien à voir avec le comique de situation et les excès, toujours hilarants, de Feydeau.
« Les gaietés de l'escadron » (1886), « Le train de 8h47 » roman de 1888, moins lu que son théâtre, « Messieurs les ronds de cuir » (1893), Boubouroche (1893), « Les Boulingrin » (1898), « Le gendarme est sans pitié » (1899), « Le commissaire est bon enfant » (1900), « La conversion d'Alceste », pièce en vers, suite du « Misanthrope » (1905)...
©2014-Les Editions de Londres
ISBN : 978-1-910628-09-6
Date de parution : 21 décembre 2014
Nombre de pages : 85 pages
« Boubouroche » est une comédie en deux actes de 1893 de Georges Courteline. « Boubouroche » entre au répertoire de la Comédie Française en 1910. Boubouroche joue aux cartes avec ses amis. Il aime bien jouer à la manille, il aime chanter le « forgeron de la liberté », il aime beaucoup payer à boire à (...)
En savoir plusISBN : 978-1-910628-95-9
Date de parution : 11 octobre 2016
Nombre de pages : 96 pages
“La peur des coups » est une petite pièce de théâtre écrite par Georges Courteline et représentée pour la première fois le 14 Décembre 1894. Jouée par deux acteurs, cette pièce comique décrit avec délice le dialogue qui amène le couple d'une civilité trompeuse au déchainement des coups (...)
En savoir plusISBN : 978-1-910628-97-3
Date de parution : 11 octobre 2016
Nombre de pages : 43 pages
« Le gendarme est sans pitié » est une comédie en un acte, écrite par Georges Courteline et Edouard Norès, représentée pour la première fois au théâtre Antoine le 27 Janvier 1889. Le gendarme Labourbourax est le champion toutes catégories du procès-verbal pour outrage. Mais cette fois-ci, il (...)
En savoir plusISBN : 978-1-911572-10-7
Date de parution : 20 janvier 2017
Nombre de pages : 64 pages
« Le commissaire est bon enfant » est une comédie en un acte de Georges Courteline et Jules Lévy représentée pour la première fois en Décembre 1899 au théâtre du Gymnase à Paris. Selon nous, c'est la comédie la plus réussie de Courteline. Le commissaire est bon enfant est un membre de la (...)
En savoir plusISBN : 978-1-911572-85-5
Date de parution : 19 octobre 2018
Nombre de pages : 107 pages
"L’article 330"est une pièce en un acte de Courteline, représentée pour la première fois en 1900 au Théâtre Antoine. L’article 330 du code pénal, c’est le délit d’outrage à la pudeur. La Brige est un original, un libre-penseur certainement, un rebelle à coup sur. Il organise sa (...)
En savoir plusISBN : 978-1-911572-97-8
Date de parution : 14 août 2019
Nombre de pages : 138 pages
« La cruche » est une comédie en deux actes de Georges Courteline et Pierre Wolff créée en février 1909 et jouée à la Comédie française en 1919. C’est une adaptation au théâtre de la nouvelle de Courteline : « J’en ai plein le dos de Margot. » C’est la dernière pièce de Courteline, (...)
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